Graphène : la solution
En collaboration avec l’école secondaire Soulanges, Curium est fier de partager avec vous, une fois par mois, des textes du projet Encyclopédie des solutions pour protéger l’environnement.
Les victimes de la pénurie d’eau
Seulement 2,5% de l’eau de notre planète est douce. De plus, le gaspillage de cette ressource se fait abondement dans les pays développés. Par exemple, deux litres d’eau par jour suffisent à notre organisme, mais au Québec, on estime que chaque personne utilise en moyenne 386 litres d’eau potable par jour.
Cependant, on oublie souvent de parler des 2,1 milliards d’humains qui n’ont tout simplement pas accès à cette ressource absolument vitale. Une étude faite par l’ONG Solidarités international révèle qu’environ 2,6 millions de personnes meurent chaque année de maladies liées au manque d’eau potable. Parmi les victimes de ces maladies, 50% ont moins de 15 ans. Vous ne trouvez pas qu’il est temps d’agir?
Le futur approche
Quelle est la solution du futur? Cela pourrait bien être la désalinisation des eaux des océans par graphène. Plusieurs pensent que le graphène est une solution miracle puisque ses caractéristiques comme sa légèreté, son imperméabilité aux gaz, sa dureté et bien d’autres sont du jamais vu. Ce « matériau miracle » peut servir au stockage énergétique, à la production d’hydrogène, à la filtration de l’air ou même à la filtration d’eau salée.
Le procédé sur lequel se base la filtration de l’eau salée par graphène est réellement simple. On fait passer de l’eau salée sous pression par la pellicule de graphène et cette pellicule retient le sel puisque ces molécules sont plus grosses et les molécules d’eau sont plus petites, donc passent aisément. On obtient alors de l’eau douce. Ce système peut être utilisé à grande échelle (pour une ville complète) ou peut être réduit à la taille d’un robinet dans une maison.
Pour lire l’article complet :
http://environnement.mongroupe.ca/graphene-la-solution
publiez votre commentaire
dites-nous ce que vous en pensez