Trafic d’organes

30 mars 2016 - Curium

On dit qu’il s’agit de «néo-cannibalisme», de «bioviolence». Le trafic d’organes est en hausse et fait des victimes dans de nombreux pays à travers le monde.

Acculés à la pauvreté, des hommes et des femmes en viennent à vendre leurs organes pour sortir de la misère.

L’organisme Global Financial Integrity calcule, par exemple, que 5 à 10% des transplantations de rein seraient effectuées dans l’illégalité. Le trafic d’organes générerait des profits annuels de 600 millions à 1,2 milliard de dollars.

Et ces chiffres ne représentent probablement que la partie émergée de l’iceberg…

Une longue cicatrice barre le flanc de Chhay. Souvenir d’une opération dont il espérait qu’elle éponge les dettes de sa famille, mais qui fait de lui une des premières victimes du trafic d’organes au Cambodge.

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